« J’ai mis de côté le confessionnal et mes fantasmes et j’a icontinué ma visite. Quand j’avais des pensées comme ça, j’espérais que Dieu ne soit pas trop omniscient, si toutefois Il existait. J’ai machinalement jeté un coup d’oeil au-dessus de moi pour guetter l’apparition d’un quelconque châtiment divin, je me suis dit que Dieu n’était pas si tout-puissant que ça et je suis sorti prendre l’air. »
À Rome, Pierre Noret enquête à sa manière afin de retrouver une inconnue croisée dans un bar. Soirées teintées d’ivresse, pessimisme, cynisme et rencontres le mènent à travers la ville et jusqu’à Naples.
Avec Valentina (et autres prénoms en -a), l’auteur mène une réflexion atypique sur les relations amoureuses tout en abordant des sujets tels que la solitude et un certain mal de vivre. | | |
| La demi-heure d’éternité
C’est un témoignage d’une demi-heure exceptionnelle dans la vie d’un être. Tellement exceptionnelle qu’on pourrait croire qu’elle fut offerte en cadeau à l’auteur pour le récompenser de sa vie tout aussi bouleversante qu’extraordinaire. Quelles que soient les épreuves passées, sa foi en l’espérance n’a jamais tari. Les témoignages des lecteurs en disent long et sont unanimes :
"Un style, à la fois sans fioritures à la Douglas Kennedy, mélangé avec du lyrisme…" Agnès Albou
"Un merveilleux cadeau que fait l’auteur à ses lecteurs en partageant sa demi-heure d’éternité dans le contexte de sa vie personnelle, cet instant de vie intense à nul autre pareil, révélé avec force et puissance fait écho à chacun d’entre nous à ce, ou ces moments de grâce…"
Michèle Micoud
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| Claude a 8 ans en 1938 et vit à Albias. Durant l'été, une famille juive descend de Paris pour les vacances. Claude sympathise avec Elisheva, qui partage sa passion pour les livres et lui fait découvrir sa culture et sa musique. Seulement, la guerre passe par là. Ce récit ne raconte pas juste une histoire mais aussi l'Histoire, le déroulement d'une guerre barbare qui va chambouler le monde pour toujours.
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Grégoire de tours
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| Début des années 1980, quelque part dans l’arrière-pays niçois. Léa, ravissante jeune femme de dix-huit printemps tout juste sacrée reine de beauté à l’occasion d’une fête locale, s’ennuie entre son job de coiffeuse et un petit-ami sans relief. Le soir, dans le secret de sa chambre située à l’étage du pavillon familial, elle s’évade de sa routine en compagnie de Fripon – sa câline boule de poils – et rêve de lointains horizons. Initiée au septième art par son père, entre deux bouffées de cigarette, elle se fait alors des films jusque tard dans la nuit...
Au sortir d’un été étouffant, chaussée de ses sempiternelles « converses », Léa se décide à gagner la ville, afin de saisir sa chance. Par l’entremise d’une amie d’enfance installée à Nice, elle trouve refuge dans une pension de famille tenue par l’extravagante Marylou, puis se lance à corps perdu dans l’inconnu... | | |
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