Marusia la science fiction qui enferme le lecteur sous un dôme et contrôle les rêves par une machine. Un livre plein de mystères, entre enquêtes et révoltes, entre censures et asservissements les habitants de Marusia vous font vivre une lecture bouleversante.
Les Urbans, selon les gouvernants de Marusia sont sous contrôle, mais il y a toujours ceux qui dérivent, et là, Bernie et Sandrane nous font découvrir la face cachée du monde dans lequel ils sont enfermés.Parviendront-ils à sauver la population de la tyrannie ? C’est dans un style littéraire soutenu que Alexis Foucart nous emporte vers le futur. Une écriture qui vous tien en haleine, on a envie de savoir ce qui va se passer ensuite à chaque fin de chapitre. Un conseil de lecteur, ne commencez à le lire que si vous n’avez pas d’impératifs dans les heures qui suivent.
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| Maison Dieu nous plonge dans les méandres de la vie nocturne, de l'être en quête de sa véritable destinée.
Ainsi chacune des notes qui composent ce journal d’une remontée hors de la nostalgie et de la colère, est-elle nommée « profil automatique ». Comme si l’auteur s’était laissé, tout d’abord, prendre au jeu de la machine et de son rythme propre, abandonnant sa volonté. Pourtant, soudainement, le visage qui se reflète à la surface froide de l’écran bleuté se révèle à lui-même dans son reflet et retisse de sentiments un réseau poétique palpitant et vivant. Au lecteur attentif se révélera le travail mis en œuvre.
J’aurai bientôt un profil
Je ne sais pas ce que j’ai dans le crâne parfois à m’obstiner sur de vieux chemins qui ne me mèneront qu’à retrouver mes vieux démons. Je le sais. Mais j’y retourne. Conséquence directe : le regret. (p.40) | | |
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